Teréga s’engage pour repenser l’avenir énergétique

Avec un chiffre d’affaires de 488M€ et un résultat net s’élevant à 65M€ en progression sensible par rapport à 2020, l’année 2021 confirme la solidité du modèle Teréga et la pertinence de sa stratégie.

• L’activité de transport représente un chiffre d’affaires de 340M€, en croissance de près de 9% faisant suite à une année en demi-teinte où l’activité transport avait été marquée par la baisse des souscriptions à Pirineos dans un contexte de crise sanitaire.

• L’activité stockage affiche, quant à elle, un chiffre d’affaires de 148M€, stable par rapport à 2020. 

Teréga poursuit ses investissements pour assurer sa mission de gestionnaire d'infrastructures gazières et soutenir le développement des énergies du futur : son niveau d’investissements croît de 10% par rapport à 2020, pour atteindre les 138M€ en 2021.

« L’année 2021 confirme la robustesse de notre modèle et nous incite à poursuivre notre stratégie d’investissement pour transformer Teréga et inscrire notre activité dans l’avenir ». 

Dominique Mockly, Président et Directeur général de Teréga.

À la suite de l'invasion de l'Ukraine par la Russie, il incombe aux pays européens de parvenir à une plus grande indépendance énergétique. Cela signifie accélérer et intensifier l'adoption de sources d'énergie décarbonées, comme le souligne la communication REPowerEU de la Commission européenne, un plan pour progressivement sortir de la dépendance de l'Europe vis-à-vis des combustibles fossiles russes bien avant 2030, et accroître la résilience du système énergétique de l'Union européenne.

Face à l’urgence climatique et dans la droite ligne de la communication REPowerEU, Teréga s’engage pour accélérer le développement des gaz renouvelables. A titre d’exemple,  Teréga est un des porteurs principaux des travaux européens sur la « Dorsale européenne de l’hydrogène ». Cette initiative ambitieuse regroupe 28 pays qui souhaitent allier leurs forces pour créer un réseau de transport d’hydrogène de près de 53.000 km en 2040 à travers l’Union européenne. À cet horizon, la dorsale européenne de l’hydrogène devrait être constituée de près de 60% de canalisations gazières reconverties à l’hydrogène, et d’environ 40 % de nouvelles canalisations dédiées. Ce réseau devrait jouer un rôle essentiel dans la décarbonation de l’économie européenne et dans sa souveraineté énergétique.